Prier sur la Paroisse Saint-Maurice

La Prière est une pratique indissociable de la vie chrétienne. Elle est bien sûr personnelle et individuelle, tout comme elle peut s'enrichir de la force d’une dimension collective. Si vous souhaitez nous confier vos intentions de prières, inscrivez-les dans le formulaire ci-dessous pour nous l'adresser :

Vous pouvez également solliciter, ou rejoindre, l’un des mouvements ou l'une des communautés suivantes : Équipes du Rosaire, sœurs ursulines, dominicaines et frères dominicains. Autant de ressources pour vous accompagner et vous soutenir dans votre volonté de prier, que ce soit au quotidien ou bien durant des retraites.

Groupes de « LECTIO DIVINA »

Depuis l’« année de la mission » en 2009, et à l’invitation de notre archevêque, plusieurs groupes de « lectio divina » se sont constitués sur la paroisse. Il s’agit, en général, d’équipes de 5 à 10 personnes habitant le même quartier qui se réunissent chez l’une ou l’autre pour partager et prier à partir de la Parole de Dieu (la Bible), une fois par mois. Vous pouvez, vous-même, créer un groupe ou vous joindre à l’un de ceux qui existent déjà…

Contact : 02 47 70 21 00 (secrétariat de la paroisse).

Les Équipes du Rosaire

Dans la paroisse, une vingtaine de personnes se réunissent chaque mois pour prier le Rosaire et pour vivre L'Évangile avec Marie. Ce sont les équipes du Rosaire, apostolat de laïcs ; elles essaient de jouer le rôle de lampes allumées assurant dans notre Monde une présence d'Église, témoignant elle-même de la présence du Christ. Elles partagent également les intentions de Prière qui leur sont confiées et chaque jour, chacun est invité à prier en communion avec les autres membres de son équipe.

Responsable Geneviève Saurin : 02 47 70 21 00
Vous êtes cordialement invité à rejoindre l'un de nos groupes dont les réunions ont lieu à 15 heures.

Sœurs ursulines de l’Union Romaine

OFFICES LITURGIQUES

  • LAUDES à 8h30 tous les jours sauf Samedi ; Dimanche à 9h
  • VÊPRES à 18h30 tous les jours

12, rue du Général Meusnier - TOURS Tél. : 02 47 20 01 68 - osu.tours@gmail.com

Communauté des dominicains

L’Oratoire de la Sainte-Face est un sanctuaire du diocèse de Tours. Il est situé dans l’ancienne maison du « saint homme de Tours », Mr. Léon Papin-Dupont (+1876), 8 rue Bernard Palissy à Tours. Il a été confié par le diocèse aux frères dominicains en septembre 2007.

  • Venir prier à l’Oratoire :
    Chapelle ouverte tous les jours de 7h à 19h30
  • Permanence d'accueil
    Lundi au samedi de 09h à 12h
  • Venir prier avec les frères :
    Laudes à 8h05, les dimanches à 8h30
    Vêpres à 19h05 (sauf dim.)
  • Messe :
    Du lundi au vendredi 07h10 et 12h15
    Samedi 12h15
    Dimanche 10h30
  • Adoration :
    Jeudi de 15h à 16h
  • Réconciliation – Confession :
    Tous les samedis de 10h à 12h et sur RDV.

Dominicains : 8 rue Bernard Palissy, 37000 Tours - Email : couvent.tours@dominicains.fr - 02 47 75 30 60 - www.optours.fr

Oratoire de la Sainte Face : 02 47 66 05 47 - sainteface.tours@gmail.com

Maison de Prière Sainte Ursule

En lien avec la paroisse, la Maison de Prière est un Centre Spirituel ouvert en 1978 par les soeurs de Sainte Ursule. Elle offre un accueil, des formations, des retraites, un accompagnement, selon la spiritualité ignatienne, "à la manière" d'Anne de Xainctonge, fondatrice de la Compagnie de Sainte Ursule. À la suite d'Anne de Xainctonge, depuis 400 ans, les soeurs de Sainte Ursule "participent à la mission éducative de l 'Église" en cherchant à "contribuer â la croissance humaine et spirituelle" de toute personne rencontrée.

Dans les diverses propositions du Centre Spirituel, chacun, chacune est invité(e) à vivre une expérience, à la relire, la mettre en mots, et, pourquoi pas, à la partager avec d'autres, pour se situer devant Dieu en vérité. Car "ce n'est pas d'en savoir beaucoup qui rassasie l'âme, mais de sentir et goûter les choses intérieurement". La Maison de Prière offre un espace de verdure, de repos, de détente et de liberté. Elle est à la disposition de toute personne qui cherche le silence, du recul, une aide à la prière. Elle peut accueillir des groupes et des mouvements d'Église qui désirent bénéficier du cadre et d'un climat de recueillement. Avec les sœurs de Sainte Ursule, des laïcs de spiritualité ignatienne collaborent à l'accueil et à l'animation du Centre. L'équipe du Centre Spirituel, outre les activités qu'elle propose sur son programme, souhaite pouvoir répondre aux demandes des groupes, paroisses, mouvements qui la sollicitent sur son site ou en se déplaçant :
http://ursule-tours.cef.fr/-le-centre-spirituel-
02 47 88 46 00
La Maison de Prière, 32 rue de la Mésangerie, 37540 Saint-Cyr-sur-Loire

Des prières

Battons-nous !


Je vois bien, dit Dieu, que, pour vous, la vie n’est pas facile à vivre tous les jours. Je vois bien aussi que dans votre société de consommation, ce n’est pas facile de vieillir ! Mais, vous savez, ce n’est pas non plus facile d’être jeune aujourd’hui ! D’ailleurs, ce n’est pas la facilité qui est essentielle, l’essentiel, c’est d’aimer. Et vous savez bien que l’amour n’est jamais facile. Je vois bien vos ennuis de santé, vos soucis de famille, vos problèmes de fin de mois et vos inquiétudes concernant l’avenir... Rien de ce qui vous arrive ne me laisse indifférent ! Je vois bien toutes vos souffrances, mais, je vous en supplie, arrêtez de penser que c’est moi qui vous les envoie ! Mon cadeau à moi, c’est la vie ! Ce que j’aime, dit Dieu, c’est ce qui fait du bien, ce n’est pas ce qui fait du mal !
Je vois bien que beaucoup d’entre vous prennent sur eux avec beaucoup de courage pour m’offrir leurs souffrances en croyant me faire plaisir. Quand vous m’offrez votre souffrance, je la reçois, non pas comme un cadeau que vous me faites, mais comme le fond d’une détresse où vous m’appelez au secours. Vous savez, dit Dieu, moi non plus, je n’aime pas la souffrance, elle m’a trop fait souffrir en faisant souffrir mon Fils ! Je vous en prie, dit Dieu, n’allez pas imaginer que je puisse y trouver un plaisir ! S’il vous plaît, ne me laissez pas seulement le choix entre n’être qu’un Dieu cruel qui fait souffrir ou n’être qu’un Dieu impuissant qui est incapable d’empêcher la souffrance ! Je vous en supplie, ne transformez pas le Ciel en musée de la souffrance. Vos souffrances me font souffrir, justement parce qu’elles vous font souffrir. Avant même que votre souffrance vous ait déchiré le coeur, elle m’a déjà blessé dans ma tendresse de Père. Je suis malade de votre mal avant même que vous le ressentiez ! Je n’aime pas plus les sacrifices de la souffrance que je n’aime les sacrifices des taureaux, des béliers et des agneaux gras qu’on m’offrait autrefois dans le Temple. La seule offrande que j’aime, dit Dieu, c’est celle du cœur. Le sacrifice qui me plaît, c’est la justice et la vérité. L’offrande que je guette, c’est celle de votre amour.
Ce n’est pas votre souffrance que j’aime, c’est votre tendresse. Si je vous ai envoyé mon Fils, ce n’est pas pour vous faire souffrir, mais pour vous guérir de la souffrance. Ne m’offrez plus votre souffrance, offrez-moi plutôt le courage et la dignité avec lesquels vous vous battez contre la souffrance et surtout n’attendez pas de souffrir pour commencer à vous battre contre la souffrance !
Que la route s’ouvre à ton approche,
que le vent souffle toujours dans ton dos,
que le soleil inonde et réchauffe ton visage,
et que Dieu te garde dans la paume de ses mains !
Maintenant, ô Maître souverain,
tu peux laisser ton serviteur s’en aller
en paix, selon ta parole.

Car mes yeux ont vu le salut
que tu préparais à la face des peuples :

lumière qui se révèle aux nations
et donne gloire à ton peuple Israël.
Une nuit, j’ai eu un songe.
J’ai rêvé que je marchais le long d’une plage, en compagnie du Seigneur.
Dans le ciel apparaissaient, les unes après les autres, toutes les scènes de ma vie.
J’ai regardé en arrière et j’ai vu qu’à chaque scène de ma vie, il y avait deux paires de traces sur le sable : l’une était la mienne, l’autre était celle du Seigneur.
Ainsi nous continuions à marcher, jusqu’à ce que tous les jours de ma vie aient défilé devant moi.
Alors je me suis arrêté et j’ai regardé en arrière. J’ai remarqué qu’en certains endroits, il n’y avait qu’une seule paire d’empreintes, et cela correspondait exactement avec les jours les plus difficiles de ma vie, les jours de plus grande angoisse, de plus grande peur et aussi de plus grande douleur.
Je l’ai donc interrogé : "Seigneur… tu m’as dit que tu étais avec moi tous les jours de ma vie et j’ai accepté de vivre avec Toi. Mais j’ai remarqué que dans les pires moments de ma vie, il n’y avait qu’une seule trace de pas.
Je ne peux pas comprendre que tu m’aies laissé seul aux moments où j’avais le plus besoin de Toi."
Et le Seigneur répondit : "Mon fils, tu m’es tellement précieux ! Je t’aime ! Je ne t’aurais jamais abandonné, pas même une seule minute ! Les jours où tu n’as vu qu’une seule trace de pas sur le sable, ces jours d’épreuves et de souffrances, eh bien : c’était moi qui te portais."
La guerre la plus dure, c'est la guerre contre soi-même.
Il faut arriver à se désarmer.
J'ai mené cette guerre pendant des années, elle a été terrible.
Mais je suis désarmé.
Je n'ai plus peur de rien, car l'amour chasse la peur.
Je suis désarmé de la volonté d’avoir raison, de me justifier en disqualifiant les autres.
Je ne suis plus sur mes gardes, jalousement crispé sur mes richesses.
J'accueille et je partage.
Je ne tiens pas particulièrement à mes idées, à mes projets.
Si l'on m'en présente de meilleurs, ou plutôt non, pas meilleurs, mais bons, j'accepte sans regrets.
J'ai renoncé au comparatif. Ce qui est bon, vrai, réel, est toujours pour moi le meilleur.
C’est pourquoi, je n'ai plus peur. Quand on n'a plus rien, on n'a plus peur.
Si l'on se désarme, si l'on se dépossède, si l'on s'ouvre au Dieu-Homme qui fait toutes choses nouvelles, alors, Lui, efface le mauvais passé et nous rend un temps neuf où tout est possible.
Nous doutons... nous avons douté...
Pendant combien de nuits ai-je repoussé l'idée que Dieu n'est, au-dessus de nous, qu'un tyran ou qu'un monarque incapable, et que l’athée qui nie est le seul homme qui ne blasphème pas !...

Puis une lueur est venue : la maladie est une ouverture.
Si nous nous trompions en postulant sa Toute-Puissance et en voyant dans nos maux l'effet de Sa volonté ?

Si c'était à nous d'obtenir que Son Règne arrive ?

J'ai dit, naguère, que Dieu se délègue ; je vais plus loin.

Peut-être n'est-Il dans nos mains qu'une petite flamme qu'il dépend de nous d'alimenter et de ne pas laisser éteindre...
Combien de malheureux, qu'indigne la notion de son Omnipotence, accourraient du fond de leur détresse, si on leur demandait de venir en aide à la faiblesse de Dieu...
Sur cette terre où Il a marché, comment L’avons-nous vu, si ce n'est comme un innocent sur la paille, tout pareil aux nourrissons, comme un vagabond n'ayant pas une pierre où reposer la tête, comme un supplicié pendu à un carrefour et se demandant, lui aussi, pourquoi Dieu l'a abandonné.

Chacun de nous est bien faible, mais c'est une consolation de penser qu'II est plus impuissant et plus découragé encore, et que c'est à nous de L'engendrer et de Le sauver dans les créatures.
Prends Seigneur, et reçois
toute ma liberté,
ma mémoire, mon intelligence
et toute ma volonté,
tout ce que j'ai
et tout ce que je possède.
C'est toi qui m'as tout donné,
à toi, Seigneur, je le rends.
Tout est à toi, disposes-en
selon ton entière volonté.

Donne-moi seulement de t'aimer
et donne-moi ta grâce,
elle seule me suffit.
La vie est chance, saisis-la,
La vie est beauté, admire-la,
La vie est béatitude, goûte-la,
La vie est défi, relève-le,
La vie est devoir, accomplissez-le,
La vie est jeu, joue-le,
La vie est précieuse, prends en soin,
La vie est richesse, conserve-la,
La vie est amour, savoure-le,
La vie est mystère, connais-le,
La vie est promesse, tiens-la,
La vie est chagrin, surmonte-le,
La vie est chant, chante-le,
La vie est lutte, accepte-la,
La vie est tragédie, soutiens-la,
La vie est aventure, tente-la,
La vie est bonheur, réalise-le,
La vie est vie, sauve-la,
La vie est trop précieuse, ne la détruis pas.
Je m’abandonne à toi,
fais de moi ce qu’il te plaira.
Quoi que tu fasses de moi,
je te remercie.

Je suis prêt à tout, j’accepte tout.
Pourvu que ta volonté
se fasse en moi, en toutes tes créatures,
je ne désire rien d’autre, mon Dieu.

Je remets mon âme entre tes mains.
Je te la donne, mon Dieu,
avec tout l’amour de mon cœur,
parce que je t’aime, et que ce m’est
un besoin d’amour de me donner,
de me remettre entre tes mains
sans mesure,
avec une infinie confiance
car tu es mon Père.
Ô Toi l'au-delà de tout,
n'est-ce pas là tout ce qu'on peut chanter de Toi ?
Quelle hymne Te dira, quel langage,
Aucun mot ne t'exprime.

À quoi l'esprit s'attachera-t-il,
Tu dépasses toute intelligence.
Seul, Tu es indicible,
car tout ce qui se dit est sorti de Toi.
Seul, Tu es inconnaissable
car tout ce qui se pense est sorti de Toi.

Tous les êtres,
ceux qui parlent et ceux qui sont muets,
Te proclament.
Tous les êtres,
ceux qui pensent et ceux qui n'ont point la pensée,
Te rendent hommage.

Le désir universel, l'universel gémissement tend vers Toi.
Tout ce qui est Te prie, et vers Toi tout être
qui pense ton univers fait monter un hymne de silence.
Tout ce qui demeure, demeure par Toi ;
par Toi subsiste l'universel mouvement.

De tous les êtres, Tu es la fin ;
Tu es tout être et Tu n'en es aucun.
Tu n'es pas un seul être, Tu n'es pas leur ensemble;
Tu as tous les noms, et comment Te nommerai-je,
Toi le seul qu'on ne peut nommer ?
Quel esprit céleste pourra pénétrer les nuées
qui couvrent le ciel même.

Prends pitié,
Ô Toi, l'au-delà de tout,
n'est-ce pas tout ce qu'on peut chanter de Toi.
Seigneur Jésus,
qui a prié pour que tous soient un,
nous Te prions pour l’unité des chrétiens,
telle que Tu la veux,
par les moyens que Tu veux.
Que Ton esprit nous donne
d’éprouver la souffrance de la séparation,
de voir notre péché,
et d’espérer au-delà de toute espérance.
Amen
1. Ma vie n'est qu'un instant, une heure passagère
Ma vie n'est qu'un seul jour qui m'échappe et qui fuit
Tu le sais, ô mon Dieu ! pour t'aimer sur la terre
Je n'ai rien qu'aujourd'hui !...

2. Oh ! je t'aime, Jésus ! vers toi mon âme aspire
Pour un jour seulement reste mon doux appui.
Viens régner dans mon cœur, donne-moi ton sourire
Rien que pour aujourd'hui !

3. Que m'importe, Seigneur, si l'avenir est sombre ?
Te prier pour demain, oh non, je ne le puis !...
Conserve mon cœur pur, couvre-moi de ton ombre
Rien que pour aujourd'hui.

4. Si je songe à demain, je crains mon inconstance
Je sens naître en mon cœur la tristesse et l'ennui.
Mais je veux bien, mon Dieu, l'épreuve, la souffrance
Rien que pour aujourd'hui.

5. Je dois te voir bientôt sur la rive éternelle
O Pilote Divin ! dont la main me conduit.
Sur les flots orageux guide en paix ma nacelle
Rien que pour aujourd'hui.

6. Ah ! Laisse-moi, Seigneur, me cacher en ta Face.
Là je n'entendrai plus du monde le vain bruit
Donne-moi ton amour, conserve-moi ta grâce
Rien que pour aujourd'hui.

7. Près de ton Cœur divin, j'oublie tout ce qui passe
Je ne redoute plus les craintes de la nuit
Ah ! Donne-moi, Jésus, dans ce Cœur une place
Rien que pour aujourd'hui


8. Pain Vivant, Pain du Ciel, divine Eucharistie
O Mystère sacré ! que l'Amour a produit....
Viens habiter mon cœur, Jésus, ma blanche Hostie
Rien que pour aujourd'hui.

9. Daigne m'unir à toi, Vigne Sainte et sacrée
Et mon faible rameau te donnera son fruit
Et je pourrai t'offrir une grappe dorée
Seigneur, dès aujourd'hui.

10. Cette grappe d'amour, dont les grains sont des âmes
Je n'ai pour la former que ce jour qui s'enfuit
Ah ! donne-moi, Jésus, d'un Apôtre les flammes
Rien que pour aujourd'hui.

11. Ô Vierge Immaculée ! C'est toi ma Douce Etoile
Qui me donnes Jésus et qui m'unis à Lui
Ô Mère ! Laisse-moi reposer sous ton voile
Rien que pour aujourd'hui.

12. Mon Saint Ange gardien, couvre-moi de ton aile
Éclaire de tes feux la route que je suis
Viens diriger mes pas... aide-moi, je t'appelle
Rien que pour aujourd'hui.

13. Seigneur, je veux te voir, sans voile, sans nuage,
Mais encore exilée, loin de toi, je languis
Qu'il ne me soit caché, ton aimable visage
Rien que pour aujourd'hui.

14. Je volerai bientôt, pour dire tes louanges
Quand le jour sans couchant sur mon âme aura lui
Alors je chanterai sur la lyre des Anges
L'Éternel Aujourd'hui !...
Je suis là pour Toi.
Et je ne sais pas quoi Te dire.
Dieu invisible pour mes yeux,
Dieu silencieux pour mes oreilles !
J’ai seulement confiance.
À l’autre bout de mon silence,
il y a Toi, notre Père attentif !
Tu es là pour nous.
Tu es là pour moi.
Tu es l’autre moitié de ma prière.
Tu entends mon silence.
Ce que j'ai fait de bon, prends-le et donne-lui vie.
Quant à ce que j'ai fait de mal,
fais couler sur lui ta miséricorde inlassable.
Sur ceux et celles
à qui j'ai fait de la peine aujourd'hui,
dépose le grand manteau de ta tendresse.
Sur les personnes que j'ai jugées, hélas,
étends l'ombre de ta paix.
À ceux qui m'ont donné leur sourire,
prodigue la douceur de ton Esprit.
Que ton amour soit avec nous tous en cette nuit
que tu nous donnes.
Qu'au coeur de notre sommeil, ta lumière nous illumine !
Amen.
Je ne vois pas la route devant moi,
je ne peux pas prévoir avec certitude où elle aboutira.
Je ne me connais pas vraiment moi-même
et, si je crois sincèrement suivre ta volonté,
cela ne veut pas dire que je m'y conforme.
Je crois cependant que mon désir de te plaire te plaît.
J’espère avoir ce désir au cœur en tout ce que je fais,
et ne jamais rien faire à l'avenir sans ce désir.
En agissant ainsi je sais que tu me conduiras sur la bonne route,
même si je ne la connais pas moi-même.
Je te ferai donc toujours confiance.
même quand j'aurai l'impression que je me suis perdu
et que je marche à l'ombre de la mort.
Je n'aurai nulle crainte car tu es toujours avec moi
et jamais tu ne me laisseras seul dans le péril.
Seigneur, fais de moi un instrument de ta paix,
Là où est la haine, que je mette l’amour.
Là où est l’offense, que je mette le pardon.
Là où est la discorde, que je mette l’union.
Là où est l’erreur, que je mette la vérité.
Là où est le doute, que je mette la foi.
Là où est le désespoir, que je mette l’espérance.
Là où sont les ténèbres, que je mette la lumière.
Là où est la tristesse, que je mette la joie.
Ô Seigneur, que je ne cherche pas tant à
être consolé qu’à consoler,
à être compris qu’à comprendre,
à être aimé qu’à aimer.
Car c’est en se donnant qu’on reçoit,
c’est en s’oubliant qu’on se retrouve,
c’est en pardonnant qu’on est pardonné,
c’est en mourant qu’on ressuscite à l’éternelle vie.
Notre Père, qui es aux cieux,
que ton nom soit sanctifié,
que ton règne vienne,
que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour.
Pardonne-nous nos offenses,
comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés.
Et ne nous laisse pas entrer en tentation,
mais délivre-nous du Mal.
Amen.
Je crois en un seul Dieu, le Père tout puissant,
créateur du ciel et de la terre, de l’univers visible et invisible.
Je crois en un seul Seigneur, Jésus Christ,
le Fils unique de Dieu, né du Père avant tous les siècles :
Il est Dieu, né de Dieu,
lumière, née de la lumière,
vrai Dieu, né du vrai Dieu
Engendré non pas créé,
de même nature que le Père ;
et par lui tout a été fait.
Pour nous les hommes, et pour notre salut,
il descendit du ciel ;
Par l’Esprit Saint, il a pris chair de la Vierge Marie, et s’est fait homme.
Crucifié pour nous sous Ponce Pilate,
Il souffrit sa passion et fut mis au tombeau.
Il ressuscita le troisième jour,
conformément aux Écritures, et il monta au ciel ;
il est assis à la droite du Père.
Il reviendra dans la gloire, pour juger les vivants et les morts
et son règne n’aura pas de fin.
Je crois en l’Esprit Saint, qui est Seigneur et qui donne la vie ;
il procède du Père et du Fils.
Avec le Père et le Fils, il reçoit même adoration et même gloire ;
il a parlé par les prophètes.
Je crois en l’Église, une, sainte, catholique et apostolique.
Je reconnais un seul baptême pour le pardon des péchés.
J’attends la résurrection des morts, et la vie du monde à venir.
Amen