UNE ANNÉE AVEC MARIE DE L’INCARNATION
« Ce qui me perce le cœur, c’est que son incompréhensible bonté ne soit pas connue, aimée, adorée et glorifiée des créatures même dans lesquelles il est, et qui sont capables de le connaître, de l'aimer, de l'adorer et de le glorifier. » (Lettre XV, à dom Raymond, 1635)